
When I moved to the subborbs a feaw years ago, I experienced the long train rides from my home to my workplace. It was both exhausting and envigorating to spend as much time in a train on a daily basis. But soon I came to realise that all this time spent inside the train was actually a great opportunity to do some reading, some scrolling and the most important part, some drawing. Since i went through an inspiration drought period as would every other artist, I thought of a little game where i challenge myself to make quick drawings of what i saw through the window during the 50min train ride.
Au début, il y avait la monotonie du train, les mêmes visages, le même trajet. Puis, avec le temps, un détail inattendu apparaissait : un reflet dans la vitre, une forme étrange dans un nuage, ou même un mouvement furtif dans un champ. Ces petits instants ont fait émerger une réalité parallèle, presque invisible dans la routine quotidienne.
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Lorsque j’ai déménagé en banlieue, il y a quelques années, je ne m’attendais pas à ce que la vie prenne un tournant étrange. Le train, ce long serpent de métal, est devenu ma compagne fidèle, matin et soir. Cinquante minutes chaque jour, à regarder le monde défiler à toute vitesse. Et c’était dans ce rythme, parfois monotone, que j’ai commencé à sentir quelque chose qui changeait en moi. Ce n’était pas une révélation éclatante, mais un petit frisson, presque imperceptible.
Au début, j’ai fait comme tout le monde. Lire. Consulter mon téléphone. Mais c’était ennuyeux. Le genre de distraction qui ne vous emmène nulle part. Alors un jour, sans raison particulière, j’ai sorti un vieux carnet de croquis. J’étais dans une sorte de vide, de crépuscule mental. J’avais l’impression d’être coincé, figé dans une boucle. Le train. Le bureau. La maison. Une routine qui m’enfermait sans que je m’en aperçoive.
Et puis il y eut ce défi que je me suis lancé : chaque jour, un croquis de ce que je voyais par la fenêtre. Un arbre, un morceau de terrain vague, un paysage qui se répétait sans cesse. Rien d’extraordinaire, mais c’était là, sous mes yeux. Chaque jour, le même train. Les mêmes visages. Puis, parfois, un détail inattendu. Un visage vu en reflet, un mouvement furtif dans les champs, un nuage qui semblait avoir une forme étrange. C’était comme si le train, ce simple trajet, portait en lui un secret, une petite folie invisible.
Chaque croquis que je faisais semblait me rapprocher un peu plus de ce que j’avais perdu — ou peut-être, de ce que je n’avais jamais vraiment vu.
Becky Sweet
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Steve Bug
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